Facteur Esprit de Service intègre plusieurs activités : Facteur, FE, FQ, courses remises ou collectes, manutentionnaires et plus si affinités. Intervention sur un périmètre plus qu’élargi… La Poste impose des horaires individualisés se compensant d’un jour à l’autre. Création d’un grade II.1 (nomade) pour des activités relevant au moins du niveau de maitrise (II.3/III.1). « Facteur Esprit de Service » est créé et mis en place sur le département sans consulter rien ni personne (...)

GÉNÉRALISONS LA LUTTE SUR TOUT LE DÉPARTEMENT !
La trêve estivale n’a pas vraiment eu lieu cette année avec les annonces du Directeur de la DSCC 13 du 13 juillet 2016. Ce dernier n’a rien trouvé de plus inadapté à la réalité et aux attentes des postiers-ères que de généraliser la pause méridienne sur toutes les tournées. Pour arriver à ses fins, le DSCC tente de « nous la faire à l’envers » en modifiant l’outil industriel de la PIC MPA (installation de TTF) et en retardant les prises de service des facteurs-trices pour faire finir les agents après 14H. La Poste veut casser notre équilibre de vie au travail. (...)

Martigues : La Poste va remettre en place le régime de travail de 2001 !
Depuis la mobilisation des postiers-ères de Martigues en 2009 et la grève de la faim de l’un de nos militants, SUD PTT avait assigné La Poste au Tribunal en faisant notamment valoir que l’accord de cycle du 05 juin 2001 n’avait pas été dénoncé régulièrement par la Direction. Dans un arrêt du 27 avril 2016, la Cour d’Appel de Montpellier vient de nous donner raison et de condamner La Poste à remettre en place le régime de travail par cycle issu de l’accord du 05 juin 2001. Encore une nouvelle claque pour La Poste sur Martigues qui (...)

Une lutte pour que la sécabilité inopinée ne soit réellement que le dernier recours à l’absentéisme (principe de subsidiarité) et non l’organisation permanente à la distribution. Une lutte pour que les moyens de remplacement (rouleurs) soient affectés par équipe (secteur géographique) et que les postes de Facteur Qualité soient comblés. Une lutte pour qu’un principe de 3 jours de formations (doublures) pour les remplaçants sur les tournées soit réaffirmé. Une lutte pour que l’auto-remplacement aux courses de remises ne soit pas obligatoire (principe de volontariat) avec compensation systématique. Les (...)

Mouvement de grève des postiers-ères de Marseille 13 :
Lors de la réorganisation du 22 juillet 2014, les postiers-ères du centre courrier de Marseille 13 ont notamment obtenu une réduction de la sécabilité organisationnelle de 3 à 1 jour par semaine, ainsi qu’une limitation de la sécabilité inopinée à 15 jours maximum par an. En ce début d’année 2016, la Direction tente d’imposer une sécabilité additionnelle (inopinée et/ou courte durée) quasi-permanente sans aucune limitation  La Poste met en avant un fort absentéisme et une baisse de trafic pour imposer (de force) cette forme d’auto-remplacement (...)

Sécabilité ou auto-remplacement quasi-permanent ???
Plutôt qu’étudier sérieusement les causes d’un absentéisme très élevé dans les établissements courrier, La Poste préfère en faire subir les conséquences sur le personnel présent. Tous les coups sont permis pour faire distribuer de force les tournées des absent-e-s, quitte à user et abuser de la sécabilité, comme forme d’auto-remplacement quasi-permanent. Soyez présent-e-s qu’ils disaient… On compte sur vous pour rattraper gratis les tournées. Avec de telles méthodes, La Poste continue de battre des records en matière d’absentéisme (champion de France devant le (...)

Mars contre-attaque !
Cela fait des années que l’on prend mauvais coup sur mauvais coup de la part de nos dirigeant-e-s, que ces dernier-e-s soient assis-e-s sur les fauteuils de l’Elysée et de Matignon, ou bien sur ceux du Siège et des directions de La Poste. De reculs en reculs, nous avons vu nos conditions de travail, de vies même se dégrader comme jamais. Mais si les patrons, comme les gouvernements à leur botte, ne s’arrêtent jamais quand il s’agit de faire du profit sur notre dos, il arrive toujours un moment où, pour celles et ceux « d’en bas », trop, c’est (...)