RESTRUCTURATIONS : Les « violons » se sont tus, mais « la partition » continue
jeudi 28 novembre 2013
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Un peu d’histoire :
Il aura fallu plusieurs suicides et la médiatisation du « mal être » à la Poste pour que nos dirigeants acceptent de mettre « la pédale douce » sur les restructurations.
Arrêt complet comme le demandaient les organisations syndicales ?
Non !
A la place, un simple changement de braquet.
Et que je te trouve un ancien syndicaliste de derrière les fagots.
(syndicaliste, qui soit dit en passant, avait plus d’affinité avec le patronat qu’avec le monde du travail lorsqu’il dirigeait la CFDT).
Et que je te mets en place une commission « du Grand Dialogue » chargée à travers des forums et table ronde de détecter et d’analyser « ce fameux malaise social » pour mieux le comprendre, paraît-il.